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Cette graineterie fut longtemps fermée. Idéalement placé, à deux pas du marché. C’est aujourd’hui un salon de thé. Bravo ! Ce commerçant a su garder les éléments architecturaux. Belle réalisation
Merci aux descendants de m'avoir ouvert la porte. Vitraux de belle facture à inscrire à l'inventaire MH.
Une chapelle de ce cimetière de banlieue parisienne est déjà classée (pour son vitrail). Est-ce le même peintre-verrier pour celle-ci ?
A la recherche d'un maître verrier du XIXe siècle.
Les cimetières regorgeaient de petits trésors perdus à jamais.
Quelles villes se soucient réellement de leurs patrimoines funéraires ?
Merci aux généreux donateurs. La lavande embaume la demeure troyenne à cette heure. Les prochaines soirées seront consacrées aux coussins des armoires des amis, de la famille et des Oeuvres.
Depuis que la place des Halles a été rénovée au printemps 2019 et le kiosque de la TCAT détruit, il demeure une véritable verrue avec cette sortie de secours du parking souterrain. Doit-on garder toute cette hauteur de murs disgracieux. Si, selon les dires en réunions publiques, l'espace TCAT était génant, que dire de cette sortie, au beau milieu de nulle part, et, qui masque encore notre marché couvert. L'oeuvre est réussie et tous se l'approprient. Mais réduire la hauteur de moitié serait-ce possible techniquement ? (je vais retrouver une ancienne photo avant le travail de l'artiste).
Voici donc un projet éphémère, où Troyens et Touristes se prendront en photos le plus cet été, a n'en pas douter. Notre "coeur qui bat", ou notre belle "Lili", ou "la ribambelle joyeuse" seront un peu délaissés quelques mois
Cette oeuvre est du peintre troyen, mondialement connu : ARGADOL
Les autres projets dans l'Aube : Pont-Sainte-Marie, cité Debussy.
et le site internet du peintre
Voici une idée nouvelle pour la fête de la musique à Troyes, à l'Institut Rachi.
L'occasion aussi de visiter cette rue dont les restaurations immobilières sont plus réussies les unes que les autres. Si celle à l'angle avec rue de la Monnaie venait enfin à être envisagée, l'unité serait remarquable.
Nostalgie des cimetières slaves regorgeant de végétation : arbres, herbes, fleurs naturelles, couronnes ... et parfois un superbe rosier grimpant, mon paradis, je préfère les roses blanches. A chaque tombe, sa personalité.
Regret des cimetières français peu végétalisés, où le bitume fleuri les allées, où la planéité ne reflète en rien les chaos de la vie.
Les cimetières sont les reflets vivants des âmes occupantes.
Exposition du 13 juin au 22 septembre 2019, à la Cathédrale de Troyes
Commençons par notre talentueuse brodeuse : Hélène le Berre
