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Toit, toi, mon TROYES
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Toit, toi, mon TROYES
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25 avril 2012

Challenge Paris

Sharon organise un nouveau challenge, du 18 avril 2012 à décembre 2014. Pas de catégories, mais lire le plus de livre possible donc l'action se situe à Paris ou dont le titre comporte le nom de cette ville, (livres, films, expositions ...), désolée pour le logo de George, mais j'aime aussi l'impressionisme... 

Top départ, le canal de Troyes est depuis peu à l'air libre, je plonge, et je remonte la Seine, direction Paris.

challenge Paris

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21 avril 2012

Samedi sandiens

Comme tous les samedis, je passe sur le blog de George. Je tombe sur l'article du 18 avril : George Sand à Nohant” d’Ella Balaert. Je lis le premier paragraphe jusqu'à la tisane... je passe à la rubrique laisser un commentaire, zappe les messages laissés, puis je ferme le PC. Je note l'oeuvre sur le post-it employeur et je cours à la librairie la plus  proche pour le commander. Pas besoin d'attendre, dans cette belle librairie du bas de Zola  "aux passeurs de texte" , il est déjà là, il m'attendait. Surtout, ne jamais lire intégralement les critiques de George et des visiteuses, surtout aujourd'hui.

Le temps orageux a fait le reste, pour moi, pas de tisane, mais de l'Hépar et le délicieux thé offert par Martine. il y a deux heures que j'ai terminé "la biographie". J'ai beaucoup aimé le style, le contexte, la manière originale de raconter l'oeuvre de SAND en les faisant revivre de manière géniale. (seul bémol les pages 99 à 106 moins bien amenées).

balaert-sand-nohant

Cela donne l'envie d'aller un jour à Nohant, de faire enfin l'aticle sur la biographie de Bloch-Dano, que j'ai enfin terminé la semaine passée. Et comme j'ai beaucoup de difficultés à lire les Tourgueniev prévus cette année. Je pense repartir vers l'oeuvre de George SAND. Merci encore George pour tous tes billets. Je retourne sur ta page pour lire les messages des autres blogueuses et délecter la fin du tien. 

NB: qui a envie de lire ce petit recueil !!!

12 avril 2012

Jeanne (Jacqueline de Romilly)

 

Jeanne écrit en 1977 par Jacqueline DE ROMILLY et édité après sa mort.

 

Ce petit livre de poche : 6.60 euros (259 pages) est une délicieuse merveille. Je n’ai découvert cette académicienne qu’après son décès en 2011, en lisant par exemple Laisser Flotter les Rubans que j’ai déjà commenté l’an dernier. L’écriture de cette autobiographie est fluide, tendre, douce. Nous allons peut-être l’an prochain à l’IUTL (institut universitaire du Temps Libre de Troyes) durant les conférences  nous pencher sur la musicalité en littérature, et j’avais en lisant, cette sensation de danse ou de chant. Comme Jacqueline de Romilly, j’ai fait du grec ancien, il me plairait d’ailleurs de relire du Thucydide que j’avais follement apprécié, il doit y avoir un lien dans cette écriture particulière. J’ai beaucoup aimé cette atmosphère, tous les sentiments décrits.

Résumé de l’autobiographie posthume de sa mère :

Nous sommes revenus grâce au début de la photographie vers 1900, dans une famille modeste, Jeanne au bracelet d’argent pose pour la postérité. Elle rencontre un jeune étudiant, ils ont une fille, et c’est déjà la grande guerre. Devenue veuve, elle élèvera sa fille seule. Les années folles de l’adolescence, de la libération de la femme, les voitures, les rencontres… Et puis la littérature, Jeanne écrit et en vie. Bientôt la guerre revient, et la vie bascule et ne sera plus jamais la même. Sa fille chérie se marie, elle est professeur, c’est la rupture morale. Bien que souvent proches l’une de l’autre, la fille redécouvre trop tard, sa mère, ses mystères, ses souffrances.

Alors, sur la blogosphère, avec Sharon qui lance « Histoire de famille », je pourrais me pencher sur un nouveau challenge, après avoir commentée une œuvre de Jacqueline de Romilly, je voudrais essayer de trouver l’introuvable, un roman de Jeanne Malvoisin (Jeanne Maxime David), par exemple « le puits aux abeilles » de 1923, « Amélie » de 1934, « la vie n’est pas un roman » …

histoire de famille

10 mars 2012

Le Journal d’un homme de trop

Le Journal d’un homme de trop d’Ivan Tourgueniev est une nouvelle de ces débuts littéraires (1850).
Le médecin vient d’annoncer à un jeune homme qu’il va mourir, il ne peut profiter de ses derniers jours, il décide d’écrire son journal. Il va donc mourir au printemps, les quelques jours s’égrainent au rythme du dégel russe, dans un village terne, sans joie ... Œuvre très courte, comme la vie de cet homme. Un homme qui n’a pas su séduire. Il nous montre qu’il a aimé cependant une jolie jeune fille mais celle-ci n’en regardait qu’un autre. Belles promenades, joli bal et un duel.

C’était mon premier Tourgueniev, mais aussi ma première littérature russe. J’ai lu d’après la traduction de Louis VIARDOT, mari de Pauline VIARDOT, grande cantatrice, dont Tourgueniev était fou. C’est grâce au challenge George SAND que je l’ai découvert. Je l’ai beaucoup réécouté en version audio en repassant ou en brodant.

Que faire devant la mort, comment passer ses dernières heures, peut on ne penser qu’à des choses gaies, qu’à ses échecs, qu’à la solitude qui s’installe.

ivan

10 février 2012

Sand et Chopin

«Sand et Chopin, Vie et Passion»

On ne peut pas être à Paris toutes les semaines, mais le 15 Février 2012, j'aurai aimé être là :

Représentation exceptionnelle: Brigitte Fossey lira George Sand, le pianiste Yves Henry jouera Chopin. 

Salle Gaveau. 45-47 rue de la Boétie, 75008 Paris. Tarif: entre 14 et 60 euros.

Voir article et réécouter l'émission  http://www.franceinter.fr/emission-le-grand-entretien-brigitte-fossey

SAND CHOIN DELACROIX

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10 janvier 2012

Tourgueniev, poèmes

Concours de poèmes à Ste Savine.

Vous pouvez déposer vos poèmes dans la "Boîte à poèmes" du 01 au 17 janvier 2012. Ils seront présentés le 17 mars 2012 à 15h à la médiathèque.

An passé : intention de créer un Challenge, mais pas assez de temps pour gérer cette difficulté. Il me fallait trouver un auteur commençant par la lettre de l'année 2012, c'est à dire le T. En feuilletant les lettres de George Sand, la trouvaille était faite. Auteur qui m'était totalement inconnu, mais dont j'avais 2 recueils dans mes P.A.L. J'avoue qu'il est difficile de rentrer dans son oeuvre, jamais lu de littérature russe d'ailleurs. Déjà Trois lus. Je pense pouvoir tenir le cap et vous retrouver les 10 de chaque mois.

Découverte du jour. http://www.ebooksgratuits.com/pdf/tourguenieff_poemes_prose.pdf

LA LANGUE RUSSE Juin 1882.

À l'heure du doute, lorsque, sombre, j'interroge le destin de ma patrie, tu es ma seule consolation, mon unique soutien, ô langue russe, grande, forte, libre et franche ! Sans toi, comment ne pas désespérer de ce qui se passe chez nous ? Mais il n'est pas possible de croire qu'une telle langue n'ait pas été donnée à un grand peuple !

8 janvier 2012

Sand, bilan

Le challenge George Sand se poursuit et devient Challenge illimité. Retrouver les challengeuses et les Samedis Sandiens de George.

logogeorgelitsand2012

27 octobre 2011

Le dernier amour

Extrait "le dernier amour" de George SAND.

Lettre de Félicie,

« Plus d’espoir, plus du tout …Il ne m’aime plus. Il ne m’aimera plus jamais ! Son cœur est mort, nous l’avons tué. Depuis un an, je lutte pour retrouver son affection ou pour éteindre celle que j’ai pour lui ; je m’efforce de le haïr, par moments je le hais !Une femme peut-elle pardonner le plus sanglants des outrages, l’indifférence ? Et pourtant, je vais mourir pour qu’il me pardonne ! A moi, Morte, il me pardonnera peut-être quelque regret, quelque pitié ; il se souviendra de m’avoir aimée, il oubliera mon crime ; il me gardera dans son cœur, purifiée par le châtiment qu’il n’a pas voulu m’imposer et que je me serai infligé à moi-même. La mort ! C’est tout ce que je peux faire, puisque ma vie ne peut rien réparer. J’ai voulu t’écrire cela. Je ne veux pas que tu croies que je meurs pour toi et que je te regrette. Non, je te méprise et te maudit. Et ne crois pas non plus que je sois en colère contre toi ; j’ai essayé de te pardonner  et de t’aimer encore ; que n’ai-je pas essayé depuis un an pour échapper à l’horreur de l’isolement ! Tout a été inutile. Le dégoût que j’inspirais à Sylvestre, j’ai senti que je l’éprouvais pour toi. Lâche, tu vas venir recueillir mon héritage, n’est-ce pas ? tu vas habiter ma maison. Ta femme dormira dans mon lit à tes cotés ! Et, toi, tandis qu’elle reposera à ta droite, verras-tu à ta gauche le cadavre que je serai tout à l’heure ?

Oh ! Mon Dieu, mourir déjà, moi jeune encore et si forte, si remplie de volonté ! Je ne peux pas m’imaginer ce que c’est d’être mort. Je me jette dans l’inconnu comme quelqu’un qui se précipiterait dans les ténèbres, sans savoir s’il tombe dans un abîme ou dans le vide. Peut-être ne tombe ton pas du tout ! On se retrouve peut-être debout et actif, devant quelque  tâche nouvelle, avec d’autres êtres, d’autres souffrances, d’autres idées. Ah, pourvu qu’on oublie cette vie que je vais quitter ! Je n’ai pas d’autre désir, oublié ! Ne plus savoir que je suis souillée et méprisée ! A ce prix, j’accepterais avec joie les plus atroces tortures et même les feux et les épouvantes de l’enfer.

Ah ! Je ne sais pas s’il y a un Dieu, mais je sens qu’il y a une justice, car j’ai été bien punie. Après avoir été si heureuse, si
aimée, si honorée, se savoir seule et dédaignée, et sentir qu’on ne peut plus rien pour reconquérir l’estime ! Il ne pouvait rien non plus, lui, il voulait m’aimer, il y avait entre lui et moi, quelque chose qui le repoussait. Il me l’avait bien prédit que, le jour où il ne m’estimerait plus, je lui deviendrais étrangère et indifférente. Tout cela, c’est ma faute. J’aurais t’épouser et te tromper pour lui. Tu me l’aurais pardonné, toi qui n’as pas de cœur et que l’argent console de tout. Voilà ce que je pense de toi, voilà mon adieu. Il le lira, lui à qui je n’ose plus parler. Il crachera sur ton nom et sur mon héritage, qui salirait ses mains pures ; mais il ne crachera pas sur ma tombe. Il y mettra des fleurs, une larme peut-être ! … ah ! Sylvestre, si vous saviez comme je vous aimais !… Mais vous ne pouvez pas le croire, vous ne comprenez pas que l’on aime et que l’on trahisse…- Vous … Non, je ne veux pas lu parler, je l’irriterais. Tout ce qui est moi vivante lui est amer et repoussant. Allons, il faut mourir. J’ai horreur de la mort pourtant, et je n’aurais jamais cru en venir là. J’ai été si souvent et si longtemps malade, que je comptais sur elle pour me délivrer de mes tourments… Mais je guéris, je ne souffre plus de mon corps, et mon âme me torture. Il faut que je me la donne à moi-même, cette mort dont j’ai peur ! Et bien, raison de plus : si j’avais envie de mourir, su=i je me sentais épuisée, infirme, lasse d’agir, où serait le courage, où serait ma punition ?

C’est fini, j’ai bu. Vais-je souffrir ? Sera-ce long ? Je sens de la force à présent, je vois clair dans ma vie, je n’ai pas d’excuse. Sylvestre, admirable ; toi : infâme ; moi : l’orgueil m’a empêchée d’accepter ma déchéance. J’ai sans doute commis un grand crime ; mais à quoi bon s’huilier, puisque rien ne peut l’effacer ? La mort seule … Ah ! Mourir vite ! Oui bientôt. Je ne peux plus penser. Tout est lourd. Tout m’écrase. L’air m’écrase. Tout me … rien ne … Félicie … tente deux ans… morte le … je ne sais plus.

22 octobre 2011

Le dernier Amour

Aujourd'hui je suis gelée,

mais ravie, satisfaite, comblée comme au premier jour.

ledernieramour

N.B : j'ai demandé pour Noël  "Le dernier amour de George Sand" d' Evelyne Bloch-Dano, je crains de ne craquer avant si personne ne se manifeste.
 

Œuvre  parut en 1867,  œuvre que je qualifierai de mature, George Sand écrit alors depuis presque 40 ans. Notre ami George, me disait que j’aurai du commencer par M. Sylvestre(1866), certes mais il était trop tard, la lecture était à sa première partie, et je la dévorais à mon rythme, certes, George en est au TGV, quand je ne suis qu’à la vapeur. Ce livre n’a pas de chapitre, c’est rare chez Sand pour être souligné. Je le diviserai en trois parties : l’éducation, la passion, la dévotion. (Mots quelque peu inappropriés de prime abord).

Dans un premier temps, M. Sylvestre arrive d’une autre vie, il a cinquante ans, dans un village suisse où il rencontre  les Morgeron. Ils ont besoin de conseils pour enrichir leurs terres en contrebas d’un glacier. Il se laisse convaincre et apporte toute sa science contre le gite et le couvert. Mais c’est avant tout un philosophe, il a besoin de réfléchir sur les personnes, de s’en enrichir, une aide précieuse pour une famille. Le vieux Morgeron, sa fille Félicie, et « son fils adoptif : Tonino » s’instruisent tour à tour de cet étranger. Bientôt les anciens partent, le père de Tonino, le vieux Morgeron, les jeunes se marient.

Beaucoup de passages préférés : Valeurs, et Transmission …\ …

Mais les mariages atypiques de la deuxième partie de l’œuvre son sujet à double réflexion. Sylvestre tient la promesse faite, ne voulant pas tirer les bénéfices des travaux commencés qui devraient bientôt rendre la famille aisée, il se marie avec Félicie. Cette dernière souffre d’une erreur de jeunesse et accepte ce compromis avec cet homme plus âgé qu’elle. Quant à Tonino, l’immature, l’inconscient, « le   fils recueilli», qu’il faut éduquer pour le transformer en être libre,  il prend pour épouse une jeune chevrière innocente, Félicie les installe dans les hauteurs voisines. De cette jeunesse et de l’amour naissent rapidement deux enfants. Tonino, écoute les conseils bienfaisants de Sylvestre pour s’enrichir.

Beaucoup de passages préférés : Génie, générosité …\ …

Et donc bientôt, la boucle se referme, et par les erreurs du passé qui ressurgissent. Tonino a toujours eu des sentiments pour sa
mère adoptive, la passion, l’innocence, la perversité, les regards et les gestes  « incestueux » devinés dans la première partie par M. Sylvestre deviennent une évidence pour lui. Un jour, Sixte More, lui aussi épris de Félicie, par jalousie profonde décide de
lui révéler le secret des rencontres entre Félicie et Tonino. Blessé par les actes de sa femme, le philosophe endurci, étudie avec calme et détermination, cette meurtrissure soudaine.

Beaucoup de passages préférés : Travail, sur soi-même …\ …

J’ai beaucoup aimé «  le Dernier Amour », tout d’abord car, il est très bien construit, travaillé, il ne s’agit pas ici de maintes descriptions de nature, de paysage, de botanique souvent trouvées dans les autres romans que j’ai tout autant appréciés. Tous les précédents m’ont permis de reprendre doucement le gout de la lecture que j’avais délaissée pour la broderie et autres aléas. C’est, je crois, dans les 17 livres lus depuis le début du challenge, celui qui est écrit par Sand, en tant que spectatrice d’elle-même et sous les traits d’un narrateur masculin, elle se met dans la peau du personnage de M. Sylvestre. Une femme peut-elle penser, philosopher comme le ferait le sexe masculin ? Elle remet en scène les propres personnages de ces romans comme Jacques (que je n’ai pas lu), (p259).  Je devrais d’ailleurs relire ce livre  pour toute la philosophie. Le personnage de M. Sylvestre est remarquable. Il est le fruit de tout le travail intellectuel, moral, fraternel du XIXème siècle. On pense aussi à la doctrine des saint-simonismes, que j’ai essayé d’étudier avec l’ascension d’un personnage auxerrois qui m’est cher.  Dans le début de commentaire, je parlais de mots  inappropriés : une éducation certes bien tardive, une éducation frustrée qui même à l’échec ; une passion dépeinte mais discrète, sensible, et qui parait si forte au-delà de la raison ; une dévotion aux êtres avant tout,  mystique parfois, la reconquête impossible de l’être trompé me parut si vivante.

Toujours chez Sand, le mariage composé, ici l’adultère.
Mais jusqu’où l’Homme peut-il pardonné, quand il est blessé dans sa chair ?

13 octobre 2011

Louis Ulbach, un troyen

Je poursuis mes recherches sur ce citoyen troyen.

 " le long silence fait le bruyant succès des premieres paroles libres" propos à méditer pour ma journée.

la_cloche1

extrait des premières pages du N° 1 de la cloche 19 décembre 1869.

La cloche que nous mettons en branle ne sonnera donc pas le tocsin sans nécessité. Son ambition, c'est d'être la voix qui traverse l'air frais du matin, avant toutes les voix de la plaine, pour saluer l'aurore, pour dire aux hommes: Revelez-vous ! pour dire aux âmes : Relevez-vous !

la corde est solide, le métal est plein, le sonneur ne se fatigue pas aisément, nous sonnerons longtemps.

Il est vrai que les cloches attirent la foudre? Je ne désire pas l'éprouver, mais j'en cours le risque; et si l'orage vient, je mettrais mes deux mains à la corde...

... \ ... 

Ce nom de Ferragus, je l'ai aussi découvert dans les archives de la ville d'Auxerre, il faut que je retrouve cela sur le site non mise en ligne, d'un homme dont il me resterai à  écrire sa biographie, travaux laissés en suspend depuis 5 ans, car il me manque l' étude philosophique de ce personnage. Essayer d'entrer dans l' Etre pour comprendre ses valeurs est trop important.

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