Allo, quel est ce rêve étrange et pénétrant. Pour les psychologues de la place de Troyes et d'ailleurs...
C'est la première fois que j'ose me dévoiler. Depuis une semaine, je me souviens de mes rêves au levé. Vous me direz, c'est qu'il y a donc du changement dans l'air. C'est aussi la première fois de ma vie, que je prends une feuille (même virtuelle) pour parler de moi. N.B: la majeure partie de mes rêves recoupe l'idée de l'eau et de conducteur.
Mon rêve:
Je circule en bus (enfants et adultes que je ne connais pas). Alors, que le voyage prends fin, je suis étonnée que le conducteur ne reprenne pas le chemin en sens inverse. Nous longeons sur notre droite un fleuve immense. Nous traversons un village ancien (genre classé) sans âme qui vive. Après avoir franchi une porte de ville, le bus laisse à sa droite un vaste monument. Je vois qu'il s'agit de religieux (hommes vêtus de blanc et d'une marque rouge). Sur l'édifice je me souviens qu'il y avait trois mots courts dont un était "huile" et que çà ne voulait rien dire. Nous descendons tous du bus, je suis un chemin énormément long (avec un groupe d'enfants) pour découvrir se qu'il mangent. Il me semble me souvenir que c'était des champs de courgettes ou genre de légumes de saison mais très connus (...)
Je me retrouve dans un monastère qui ne cesse de monter et c'est très long. Je me cache derrière un grand pilier pour observer leur rite (...)
Nous redescendons, c'est toujours interminable, mais je sais que ma mère est dans un autre groupe. Nous nous arrêtons un très court instant dans une salle (genre hall). Un très gros problème se pose pour sortir du monastère. Je ne peux descendre, la route est en contre bas. Il faut que je me hisse entre deux (blocs ou poubelles). Les autres suivent comme moi. Je constate qu'il sera trop difficile à ma mère de prendre cette sortie.J'attends avec les autres participants (une foule autour de moi). Un chef religieux nous annonce qu'il faut faire de la place, car une personne est contaminée. Une porte de bois (à droite, que je ne voyais pas) s'ouvre et laisse descendre une voiture sombre (que des hommes qui ne me semblent pas religieux) qui file à faible allure en nous regardant. Une femme dans un drap blanc est alitée et sanglée, prête à être treuillée devant mon passage délicat. Durant ce temps, ma mère sort et vient nous rejoindre (elle n'a quasiment pas de difficulté à franchir ce gouffre, mais je l'aide un peu pour la guidée).
Je me réveille et retrouve les bruits des sorties de boites qui me gênent tous les dimanches matins. Mais je réussi à retrouver le sommeil.
Voilà, à l'aide.