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Toit, toi, mon TROYES
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Toit, toi, mon TROYES
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28 août 2011

Histoire d'eau MAIRIE et demain

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Une mairie bucolique pour 2011 : le bonheur est dans le pré.

La photo en bas à droite est insérée à partir du plan d'amenagement consultable sur le site de la ville de Troyes. Y voir par la même occasion l'évolution de la mairie depuis le 16 ème (sur Powerpoint?).

Il est vrai qu'elle est un peu tristounette notre mairie, trop grise. Après l'époque des mariages la place aux échafaudages et l'énorne bardage est arrivée. Nous allons pouvoir revoir son colonage comme à l'origine, car elles furent badigeonnées de blanc.

Enfin un peu d'ombre quand l'on attend le bus, ou quand on mange une glace. De plus cela cachera un peu la misère de l'ilot moderne sur toutes les photos des touristes. En 2012, superbe mairie et surtout superbe et agréable office du tourisme j'espère.

 

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27 août 2011

Histoire d'eau Urbain IV

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 Aux portes de sa maison et de l'église du pape  Urbain IV

26 août 2011

Histoire d'eau Place préfecture nuit

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Troyes by night.  Par petits groupes, tous les jours, touristes ou troyéens, viennent prendre avec ou sans flash les jets aux couleurs arc en ciel. Même si elle se dérègle parfois, j'aime moins le vert et jaune quand ils s'intercalent.  Dans une ville du 16 ème, où à longueur de journée l'on admire les pans de bois, au soir, le modernisme surgit, la vie en couleurs entrent dans nos rêves. On peut aussi admirer les vitraux du parking souterrain au dos de cette fontaine.

25 août 2011

Histoire d'eau Rapt de Suchelet

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Entre la copie du  Rapt de Suchelet (fondu pour les allemands) et ses quatres grenouilles au doux bruit régulier et l'enfillade de bassins aux jets bruyants et alternatifs, le banc ( "un peu raide" : aux dires des personnes anciennes) est parfait pour y lire surtout à l'aube, quand les rayons sont encore à l'oblique. Cette statue s'est aussi promenée sur la place de la Mairie durant le creusement du parkink souterrain. Mais elle n'était pas à cet endroit dans le joli jardin d'origine. Serait elle à l'emplacement exacte du choeur de l'église de St Jean aux nonnains?

voir aussi article de Delislas

24 août 2011

Histoire d'eau (Argence)

 

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 Article rédigé d’après  les notes prises sur l’article publié par  Jean Louis Humbert dans la Vie en Champagne N°35 de 2004 (spécialiste de la valorisation du patrimoine industriel dans l’Aube).

Grâce  à la fortune du philanthrope Désiré ARGENCE (1812-1889),  léguée à la ville dont il fut le maire avant la guerre de 1870, la commune fut selon ses souhaits ériger cette très belle fontaine. (Fortune personnelle estimée à environ 400 000 Fr en 1889).

Dès 1895, on décide qu’elle serait dressée dans le prolongement des ex – remparts, et devant le Lycée qu’ARGENCE a fait prospérer. Les plus gros concepteurs français sont consultés, le marché est acquis pour l’ensemble monumental à 15 OOO Fr aux Fontes du Val d’Osne + 10 000 Fr à la construction du bassin octogonal. Pour les matériaux l’on emploie des chaux hydrauliques des usines de Seilley, du ciment Portland de Boulogne sur Mer, des graviers et des sables locaux des bords de Seine, de la Pierre de Cerilly. Le diamètre du bassin est de 10 mètres. Il est prévu une fontaine + 4 cygnes + 4 Sirènes + et un couronnement servant de support électrique. Le tout sera bronzé au cuivre. L’entreprise s’engage pour 2 ans à son entretien et à fournir la tuyauterie de distribution en plomb, les 5 robinets des vannes, 1 robinet central. Elle est inauguré par la municipalité DEVANLAY le 13 Juillet 1897 à 14 H 00. Seuls quelques problèmes de jets d’eau par grands vents arrosent les boulevards adjacents.

Delislas a réussi à la prendre avant qu'elle ne soit à l'arrêt.

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23 août 2011

Histoire d'eau (Bourse du travail)

 

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Pour l'instant l'on peut encore lire "la bourse du travail" dans le reflet de l'eau. Place réservée aux concerts ou aux jeunes skate-boarders et aux départs des manifestations syndicales. voir aussi les photos de Delislas

 Fontaine silencieuse sans réel intérêt à mon goût, elle se fondera probablement mieux avec les nouveaux concepts du nouvel investisseur. Elle demeure pourtant  l'ancienne place, où chaque matin, dans un autre siècle on venait y chercher sa journée.

22 août 2011

Histoire d'eau (St Jean)

 

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Entre la porte de l'église St Jean et bientot celle de  l'ex Office de Tourisme, c'est l'endroit de baignade de ces vilains volatiles. Elle est parfois le lit d'un clochard. Cette petite place du four à pain est cependant un havre de paix pour les touristes affamés, moins bruyante et à deux pas de la voie pietonne aux restaurateurs débordés.

21 août 2011

Histoires d'eau

Je vous quitte encore quelques jours, les derniers avant la reprise. Il ne s’agit pas de Troyes et de ses multiples dérivations de la Seine jadis aux couleurs des diverses teintures de la bonneterie dont nous fumes la Capitale, ni de ses moulins … Je vous laisse au cœur de Troyes, loin de celles taries dont il faudrait que je me penche pour épancher ma soif.

Cette semaine : les fontaines de Troyes.

Souvent Delislas en a parlé et a pris des photos qui m’ont échappées, n’hésitez pas à aller le voir et lui laisser un commentaire. J'ai fait quelques renvois sur son blog.

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20 août 2011

Leone Léoni

romans_1830

Mon avis:  Lu depuis un petit moment, sans avoir fait le commentaire, je profite de mes derniers jours de solitude pour remettre tout cela à jour, je laisserai ensuite par un unique commentaire les liens pour le Challenge. Il faut dire que j'ai lu ce roman, juste après Valentine qui reste toujours dans mon trio de tête. Ce livre ne m'a guère inspiré, car trop violent, une jeune fille trop naïve. L'univers des débauches du XIX ème siècle y est très bien peint. On sent toute la détresse de G.SAND à Venise de sa relation avec Alfred de Musset, à l'inverse de Mattéa.

Résumé: Lors un grand bal, Juliette la fille d’un grand bijoutier belge toute parée, s’enfuit avec italien. En traversant la Suisse pour rejoindre son pays et surtout pour échapper à la justice, les jeunes gens s’arrêtent dans une vallée, y passent de très doux et tendres moments, lorsque l’hiver arrive, il est impossible d’y rester. Leone, durant la nuit du départ, seul, court dans la vallée pour prendre son petit coffre, dans l’agitation au retour, il perd une épingle que portait Juliette lors du bal. Elle commence à se poser des questions sur le retour de ses bijoux chez son père.  Il décide alors de rentrer à Milan il y retrouve tous ses amis. Une vie de jeu, de débauche totale. Mais Juliette recluse dans une belle demeure, de plus en plus isolée, Léone est même prêt à vendre sa femme. Les vieux ennemis de Léone rodent dans le secteur, allant jusqu'au duel. Mais qui est réellement tué, avec qui repart Juliette ?

Mon passage préféré : Comme à cette époque, j'étais moi-même sur un "petit nuage", j'avais choisi la vallée Suisse et je devais faire le parallèle avec celle du même nom à Troyes.

19 août 2011

Mattea

Il est des jours où le temps me donnent le spleen. Alors j'écoute les petits romans de George Sand sur des versions audio. Ce site est génial, bravo aux preteurs de voix.

C’est un roman d’environ 100 pages, écouté lors d’un après-midi de déprime en plein ménage.  

Résumé :

Mattéa n’a que 14 ans, mais elle est déjà la convoitise dans le magasin de soieries que ses parents tiennent à Venise. Ils lui ont déjà choisi un cousin pour mari, à cette annonce, elle leur déclare être amoureuse d’un turc. « Martyrisée » surtout par sa mère, elle décide de prendre le large dans le bateau du négociant. Mais c’est l'interprète, un jeune grec, qui, par un marché judicieux de soie blanche avec le père, prend la main de Mattéa. Elle ne rejoint donc pas le harem turc, mais l’ile grecque, puis revient auprès de son père avec son mari et ses enfants, bien plus tard.

Mon passage préféré : Premier chapitre / Description de l'envol du chapeau, puis la retombée miraculeuse dans la gondole de la princesse. (je l'écrirai plus tard pour mettre dans mon cahier challenge G. Sand).

Mon avis : Bien aimé, ce tendre roman, écrit lors de sa passion amoureuse avec Alfred de Musset à Venise, dans la première période de son idylle, je pense, je la trouve légère, emballée. On y découvre la vie vénitienne, le commerce, et l'émancipation de la jeune femme de 14 ans, rebelle. Je ne m'attendais pas à cette fin.

 

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